Scolaire : 8 films à voir en classe
Pour cette édition 2023 du Mois du Doc, les structure de diffusion et de promotion de la Fédération Wallonie-Bruxelles se mobilisent pour présenter une offre de qualité aux enseignants.
Qui sont-elles?
- Centre Bruxellois de l’Audiovisuel (CBA) et Wallonie Image Production (WIP): les deux incontournables ateliers d’accueil de la Fédération Wallonie Bruxelles, accompagnent et soutiennent la réalisation de films documentaires, leurs promotion et diffusion.
- Le P’tit Ciné: acteur historique et engagé dans le paysage audiovisuel belge francophone, il met en place des actions et des formations visant à susciter la réflexion à partir des films documentaires dont il soutient la promotion et la diffusion.
- Les 5 structures de diffusion subventionnées : elles participent à dynamiser et diversifier la diffusion de films d’auteurs à Bruxelles et en Wallonie, en veillant à toucher des publics très différents (enfants, seniors, personnes précarisées, etc.) : l’Agence belge du Court Métrage, Empreintes (asbl Freyja), Kinoféroce, ScreenBox (asbl Bah Voyons!),La Vidéothèque nomade.
Chacune de ces structures propose un documentaire à exploiter en classe avec les élèves.
Ces films sont disponibles sur laplateforme.be, plateforme de streaming exclusive et accessible gratuitement (sur inscription) aux enseignants. Celle-ci permet de visionner, sélectionner et même diffuser un film en HD en classe. Nous encourageons toutefois les enseignants à visionner les films avec leurs élèves dans de bonnes conditions de projection (dans la mesure du possible), idéalement dans une salle de cinéma.
Les enseignants peuvent également inviter un cinéaste à rencontrer les élèves. En savoir plus : Cinéastes en classe
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Récit de Soi
de Géraldine Charpentier, proposé par l’Agence Belge du Court Métrage Dans cette animation documentaire, Lou se raconte, raconte son rapport au genre, aux vêtements et à d’autres marqueurs incontournables, alors que les représentations non-binaires sont rares.
♦ Visionner le film sur LaPlateforme ♦ |
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Dans la maison de Karima Saïdi, proposé par Empreintes A travers le portrait de sa mère atteinte de la maladie d’Alzheimer, le film aborde un pan de l’histoire de l’immigration marocaine en Belgique.
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La disparition de Tom R. de Pablo Guarise, proposé par Kinoféroce En mars 1997, Tom R. disparaît sans laisser de traces. Le film, une enquête docu-policière, part à sa recherche et explore l’absence, l’interroge.
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Une jeunesse italienne de Mathieu Volpe, proposé par ScreenBox Le film dresse le portrait contrasté d’un jeune Burkinabé vivant en Italie, coincé entre le poids des traditions, les attentes de sa famille et ses propres élans émancipateurs.
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Mouvements d’identités Réalisation collective, proposé par la Vidéothèque Nomade Les jeunes participants à cette réalisation collective se sont rencontrés et se sont confiés, en s’inspirant de leur vécu et de leur famille, afin d’analyser le legs de la colonisation, de la décolonisation et comprendre ces mouvements de population.
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Arbres De Sophie Bruneau et Marc-Antoine Roudil, proposé par le P’tit Ciné C’est une histoire de l’Arbre et des arbres, depuis ses origines. Une leçon de sagesse qui raconte les grandes différences et les petites similitudes entre l’Arbre et l’Homme avec l’idée prégnante que l’arbre est au règne végétal ce que l’homme est au règne animal. On y rencontre des arbres qui communiquent, des arbres qui marchent, des arbres timides ou des arbres fous...
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En attendant les robots de Natan Castay, proposé par le Centre Bruxellois de l’Audiovisuel (CBA) dont l'offre scolaire est plus étendue. Après avoir perdu son job, Natan s’inscrit sur un site de micro-tâches. Devenu un « turker », il efface pour un centime des visages sur Google Street View. Sous les traits d’Otto, personnage fictif, il mène une enquête ludique sur les travailleur·euse·s du clic.
♦ Visionner le film sur LaPlateforme ♦
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Je n’aime plus la mer de Idriss Gabel, proposé par Wallonie Image Production dont l'offre scolaire est plus étendue Ils viennent d’Afghanistan, d’Irak, de Syrie ou d’Erythrée, fuyant la guerre et les persécutions. Propulsés sur les routes, ces enfants de l’exil ont dû faire faceà de multiples dangers pour rejoindre l’Europe. D’autres ne sont jamais parvenus au bout de ce périple, engloutis dans les flots de la Méditerranée, le froid des montagnes ou les réseaux d’esclavage. Tous ont un point commun : ils n’aiment plus ni la forêt, ni la montagne, ni la mer…
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Contact :
Fatmire Blakaj – 02 413 33 51 -
