Joseph ne peut plus vivre chez lui. Pendant des années, il a parcouru la ville avec son chariot pour amasser des kilos de papiers disparates et collections d’objets en tout genre, saturant son appartement d’un chaos labyrinthique. On dit de lui qu’il a le “syndrome de Diogène”. Il est doté d’une culture vertigineuse et d’un sens de l’humour affuté. La réalisatrice l’aide à désengorger son intérieur. Une amitié se tisse.